Quand le « non » d’une femme vaut moins que le « non » imaginé d’un homme
Et c’est là que la réflexion qui a inspiré le titre de ce post débute. Je me sens à ce moment là, comme un objet, à posséder, à conquérir. Car mon “non” n’avait aucun poids, jusqu’a ce qu’il devienne le nom de mon copain dans ses oreilles. Puisqu’un objet ne pense pas, c’est seulement la présence imaginée d’un autre homme qui rend la mission impossible. La présence imaginée d’un homme a plus de poids que la présence réelle d’une femme, pour lui.